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Comment rendre ma piscine plus économe
Économisez sur vos dépenses de piscine
Goûter au plaisir de la piscine dans le jardin de votre maison devient plus facilement accessible avec les piscines hors sols ou les piscines à coque rigide. Or, la présence de piscine dans plus de 15% des foyers français provoque une consommation excessive d’eau. En effet, selon le Centre d’Information sur l’Eau (Cieau), une piscine consomme en moyenne entre 50 et 80 m³ d’eau potable. Même si la principale source de surconsommation est liée aux fuites de réseau (20% des pertes), il est important de limiter celle des piscines. Ce plaisir s’accompagne donc de dépenses qu’il est possible d’optimiser. Prix d’achat, énergie, coût de l’entretien et facture des produits de traitement sont autant de postes pour lesquels vous pouvez économiser.
Modifier le mode de chauffage, remplacer l’éclairage, opter pour une filtration plus économe, un traitement plus efficace ou conserver l’eau le plus longtemps possible, il existe des moyens simples de réduire les coûts. Notre guide vous donne quelques conseils pour faire des économies avec sa piscine.
Comment faire baisser le montant de vos factures de piscine ?
Quels sont les postes de dépense de la piscine ?
Pour faire des économies sur ses factures de sa piscine commence par identifier les points de dépense :
• Le prix d’achat de la piscine
Selon si vous installez une piscine hors sol dans votre jardin ou si vous optez pour la construction d’un bassin sur mesure, le coût sera différent. Mais à l’intérieur de ce choix de piscines, vous pouvez opter pour des décisions de dimensions et de formes qui auront des incidences sur les dépenses futures.
• La facture énergétique
Elle englobe le prix de l’électricité lié à la pompe de filtration, à l’éclairage ou à l’utilisation du robot d’entretien. Pour des piscines avec chauffage, cette facture s’alourdit selon si le système est électrique, relié au chauffage de la maison ou à des panneaux solaires.
• La consommation d’eau
C’est la quantité d’eau consommée pour remplir le bassin, mais aussi celle liée à l’évaporation, au lavage du système de filtration, au renouvellement de l’eau et à la douche.
• L’entretien
La facture d’entretien regroupe le prix des produits, la quantité consommée, le type de produits utilisés pour le traitement (chlore, brome, sel, etc.).
Bien choisir la piscine
Le choix de la piscine dépend évidemment de sa destination (baignade, nage, famille, etc.), mais c’est dès cette étape que vous pouvez réduire les dépenses. Le prix d’achat est influencé par les facteurs tels que les travaux, la taille et les matériaux. Quant au coût futur, il peut être lié à l’emplacement dans le jardin, la forme, la profondeur et à toutes les pièces fixes liées au fonctionnement (filtre, pompe, chauffage, etc.). Vous pouvez prévoir une piscine moins gourmande dès sa construction ou anticiper des économies sur son utilisation.
- Les piscines hors sol
Pour la piscine hors sol, on distingue la piscine autoportante de la piscine hors sol avec tubulure et structure de soutien.
Le prix des piscines autoportantes varie de 50 € à quelques centaines d’euros et leur utilisation tant pour la filtration que pour le volume eau ou l’entretien ne nécessite que très peu de dépenses.
La piscine hors sol, installée sans travaux de terrassement ou de modification du terrain, peut contenir un volume d’eau allant jusqu’à 25/30 m³.
La structure le plus souvent en acier ou en bois influe sur le prix d’achat qui varie en 700 et 12 000 euros.
- Les piscines enterrées
Les piscines enterrées se distinguent en 2 grandes catégories : les piscines à coque préfabriquée ou les piscines maçonnées sur mesure.
Elles nécessitent des travaux de terrassement et le volume d’eau du bassin peut atteindre 100 m³ ou plus.
Le prix d’achat d’une piscine à coque qui varie selon la présence d’accessoires ou de pièces fixes (plage, escalier, etc.) se situe entre 10 000 et 25 000 euros.
Pour installer une piscine sur mesure dans son jardin, le coût peut allègrement dépasser les 30 000 euros selon les dimensions d’eau du bassin.
- L’emplacement dans le jardin
Que votre piscine soit à l’ombre de la maison, sous des arbres ou en plein milieu du jardin influe sur les économies possibles.
Les piscines épargnées par l’arrivée de feuilles nécessitent moins de traitement et d’entretien.
Celles exposées à la chaleur du soleil, mais à l’abri du vent réduisent le recours au chauffage, l’évaporation et diminuent la facture énergétique.
Comment économiser l’énergie de la piscine ?
La consommation d’énergie est le poste de dépense le plus important d’une piscine sans chauffage. En effet, on estime que la facture d’électricité représente 90 % du coût de fonctionnement. Pour les piscines avec chauffage, la facture augmente selon l’énergie utilisée, mais peut être réduite ou modérée en fonction des équipements choisis.
- La gestion de la filtration
Comme le fonctionnement de la filtration est la principale dépense énergétique, une gestion juste permet de réduire les dépenses.
Pour cela, il faut s’assurer que la taille de la pompe est bien adaptée au volume d’eau du bassin. Une pompe sous-dimensionnée comme une pompe trop grosse provoqueront surconsommation ou gaspillage d’électricité.
Respectez scrupuleusement le nombre d’heures de filtration adaptée à la température de l’eau. Faire des économies sur le temps de filtration peut être une mauvaise idée.
Cela occasionnera le développement d’algues et nécessitera de longues heures de filtration et l’utilisation de produits pour retrouver une eau claire. Enfin, privilégiez la filtration en journée. En effet, la propagation des algues se fait en journée.
De plus, la filtration la nuit abaisse la température plus vite avec le brassage de l’eau. Pour adapter le fonctionnement de votre pompe de filtration, installez un programmateur dont le prix est d’une dizaine d’euros.
Enfin, un variateur de vitesse installé sur la pompe de filtration permet d’adapter la vitesse en fonction de plusieurs paramètres comme la plage horaire. Cela peut permettre l’optimisation de la vitesse de fonctionnement si une plage d’heures creuses est disponible en journée, par exemple.
- La pompe à chaleur pour piscine
Pour une piscine avec chauffage, la pompe à chaleur est un système qui permet de limiter la consommation électrique.
En effet, la pompe à chaleur capte les calories de l’air pour les restituer en chaleur dans le circuit de chauffage.
Les modèles de pompes à chaleur inverter avec leur fonctionnement continu permettent de rendre la piscine encore moins gourmande en énergie.
Le choix de la puissance de votre pompe à chaleur dépend du volume d’eau à chauffer, mais aussi de la température moyenne de votre région.
Enfin, il existe une pompe à chaleur qui regroupe 4 fonctions : la circulation, la filtration, le traitement par électrolyse, et le chauffage de la piscine.
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Les panneaux solaires pour chauffer votre piscine
Encore plus vertueux, les panneaux solaires thermiques permettent de récupérer la chaleur du soleil pour la restituer dans l’eau du bassin.
L’énergie solaire renouvelable remplace l’électricité. Grâce aux panneaux solaires, la température augmente et la facture électrique diminue.
Le dimensionnement des panneaux solaires thermiques dépend là encore de votre situation géographique, de l’ensoleillement du jardin et de la température souhaitée.
Il dépend également de la surface disponible, de la présence d’un abri de piscine, etc. L’énergie solaire peut aussi être utilisée pour chauffer l’eau de la douche sans dépenses.
Enfin, il existe des panneaux solaires « plug and play » qui créent une énergie électrique utilisable en journée pour la piscine en y branchant le robot par exemple.
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L’éclairage LED, moins énergivore, pour éclairer votre piscine
L’utilisation nocturne du bassin entraine une consommation électrique qu’il est possible d’optimiser. L’installation de projecteurs à LED peut diminuer la facture d’électricité avec une durée de vie au moins équivalente.
La puissance des LED varie selon la superficie de la piscine et la luminosité souhaitée.
Par exemple, la puissance nécessaire des LED pour une piscine de 6*4 m est d’environ 40 W, soit 2 projecteurs de 20 W.
Bien sûr cette répartition est à adapter en fonction des équipements de votre piscine.
Enfin, pour l’éclairage extérieur, vous pouvez disposer des petits projecteurs solaires autour de la piscine pour disposer d’une ambiance discrète et économe.
La bâche à bulles pour chauffer votre piscine à moindre coût
La bâche à bulle ou couverture solaire est un moyen simple de faire des économies d’énergie. Elle permet d’augmenter la température de l’eau et de limiter le recours au chauffage. La chaleur du soleil, énergie renouvelable, est restituée dans l’eau grâce aux bulles faisant office de loupes. La bâche à bulles agit ensuite comme une couverture à la surface de la piscine et limite les effets de l’évaporation ce qui permet de faire une économie d’eau et de produits de traitement. Bien entendu, la taille de la couverture solaire doit être ajustée aux dimensions de la piscine.
Pour des piscines sur mesure, il est possible de faire réaliser une bâche sur mesure. La bâche à bulle doit être totalement enlevée en journée lors de la baignade et replacée en dehors des phases d’utilisation en journée et surtout la nuit. Dans ce cas, la couverture solaire peut limiter la baisse de température nocturne. Enfin, la bâche limite l’encrassement lié aux feuilles et donc le recours au filtre et aux produits de traitement."
Comment maîtriser la consommation d’eau de la piscine ?
Contrôler et limiter la consommation d’eau liée à la piscine est un enjeu important en période de sécheresses répétées. Conserver le niveau d’eau optimal en limitant l’évaporation, réduire le nombre de lavages du filtre et réaliser un bon hivernage sont autant de facteurs qui permettent de limiter la quantité utilisée. En cas de doute, il existe des détecteurs de fuite adaptée à la piscine.
Bien sûr, la consommation excessive d’eau pour la douche extérieure ou le gaspillage avec les jeux peut aussi être un axe d’économies. Gérer la consommation de l’eau passe donc par une utilisation raisonnée et des équipements moins gourmands.
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Utiliser un filtre à cartouche
Le filtre à cartouche peut remplacer le filtre à sable traditionnel pour économiser de l’eau.
En effet, avec une finesse de filtration supérieure, il nécessite moins d’eau pour son lavage manuel.
Le gaspillage d’eau de lavage d’un filtre à sable peut monter jusqu’à quelques centaines de litres par cycle, même s’il est moins fréquent et se réalise mécaniquement.
Comptez 20 litres d’eau jetés à l’égout pour laver une cartouche contre 200 à 300 litres pour un filtre à sable.
Cependant, adaptez bien la taille et la dimension de votre cartouche pour une filtration efficace.
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Utiliser des médias filtrants autres que le sable
Certains médias filtrants offrent la possibilité d’améliorer la filtration et de réduire la quantité d’eau nécessaire au contre-lavage ou « backwash ». Parmi ceux-ci, on trouve le verre filtrant la zéolite et les billes de polystyrène. Les 2 premiers, naturels ou issus du recyclage, sont plus respectueux de l’environnement.
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Utiliser un filtre à balles filtrantes
Les balles filtrantes s’utilisent en remplacement du sable ou dans un groupe de filtration dédié.
La finesse de filtration des balles lavables en machine est plus élevée que celle du verre ou du sable.
Grâce à la légèreté de ce média, la pression nécessaire au fonctionnement est moins importante ce qui réduit les efforts de la pompe qui devient plus économe.
De plus, comme le débit d’eau filtrée est supérieur, le cycle de filtration est plus court et la consommation électrique diminue.
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Le verre filtrant
Le verre filtrant issu du recyclage offre une filtration plus fine que le sable et retient des particules mesurant jusqu’à 5 microns.
Le verre filtrant présente également l’avantage de réduire la quantité d’eau nécessaire à son lavage.
Ceci permet d’obtenir une eau plus claire et d’économiser de l’eau.
Enfin, la durée de vie du verre filtrant est supérieure à celle du sable.
La Zéolite
La zéolite est un minéral naturel qui filtre des particules mesurant jusqu'à 4 microns. Sa capacité à capter les ammoniums irritants réduit également la consommation de chlore. Dans ce cas, l’eau est moins irritante et plus claire. Comme la zéolite requiert moins d’eau au rinçage et que sa durée de vie est supérieure à celle du sable, elle offre une alternative économe en eau.
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La bâche à bulles, pour aussi économiser l’eau
Comme on l’a vu, l’utilisation d’une couverture solaire ou bâche à bulles peut permettre d’augmenter la température et de conserver la chaleur.
Mais elle présente un avantage supplémentaire en réduisant l’évaporation de l’eau. En effet, le vent et la chaleur accélèrent ce phénomène qui consomme de l’eau.
Or, l’évaporation est un facteur important du besoin en eau pour la remise à niveau. De plus, chaque fois qu’un remplissage est nécessaire, il s’accompagne de consommation de produits de traitement (chlore, brome, sel, etc.).
En agissant comme une couverture de surface, la bâche à bulle empêche ce phénomène.
L’entretien régulier de la piscine pour ne pas surconsommer
L’entretien régulier a plusieurs impacts sur les économies réalisables. Une piscine mal entretenue utilise beaucoup plus le système de filtration et consomme plus de produits de traitements. Il en résulte une consommation électrique qui augmente, un renouvellement d’eau plus fréquent un coût des produits qui flambe.
Réaliser un entretien régulier et automatiser ce qui est possible apporte confort et maîtrise des coûts. Enfin, utiliser des produits d’entretien plus efficaces limite les dépenses de traitement.
Un traitement plus efficace et plus naturel
Les produits de traitement évoluent et gagnent en efficacité tout en étant plus naturels. En effet, certains fabricants utilisent de plus en plus des ingrédients d’origine naturelle tout en améliorant leur rendement. Grâce à cette efficacité, vous pouvez limiter le recours aux traitements et maîtriser les coûts.
Faire un entretien manuel
L'entretien manuel de la piscine par principe ne fait pas appel à des équipements électriques.
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Nettoyage de la surface de l’eau
À la surface de l’eau, utilisez une épuisette pour retirer tout ce qui flotte avant que cela soit entrainé dans le filtre ou se décompose dans l’eau.
Dans le 1er cas, cela réduit le recours à la filtration et dans le 2d la consommation de produits de traitement.
Avec une brosse, frottez les parois régulièrement pour déloger les algues en formation et le calcaire.
Cela évite la prolifération des algues et réduit le recours aux désinfectants.
Aspiration
De nombreuses piscines sont équipées de vannes qui permettent d’utiliser les buses d’aspiration pour y brancher un aspirateur. Enlever les débris au fond du bassin permet de les filtrer directement et d’éviter la décomposition consommatrice de traitements.
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Contrôle et ajustement des produits chimiques
Testez régulièrement l’eau pour ajuster le niveau de pH et la concentration de chaque produit ou élément nécessaire au bon fonctionnement.
La justesse du PH est facteur clé de l’efficacité des traitements.
Faute d’un pH juste la surconsommation de désinfectant peut devenir vertigineuse et sans effets.
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Gestion de la filtration
Comme on l’a vu, le temps de filtration doit toujours être adapté à la température de l’eau.
Une méthode simple pour calculer le temps de filtration estival est de diviser la température par 2 pour obtenir le nombre d’heures nécessaires.
Par exemple, pour une eau à 24°, le filtre devra fonctionner 12 heures en plusieurs cycles.
Au-delà de 28/29 °C, il est préférable d’opter pour un fonctionnement permanent.
Le temps de filtration peut également être réduit grâce à l’installation de filtres plus efficaces et plus économes. C’est le cas par exemple pour les groupes de filtration à balles filtrantes dont le débit et la finesse des déchets filtrés permettent de réduire le nombre d’heures de fonctionnement et donc la consommation électrique.
Opter pour l'entretien automatique
L’automatisation de l’entretien offre la possibilité d’optimiser certaines interventions afin de ne pas recourir à des traitements chocs en cas d’oubli. Pour cela, il existe de nombreux équipements et accessoires.
Le robot aspirateur
Le robot aspirateur, souvent programmable, permet de limiter le recours aux traitements, mais il peut se montrer énergivore.
Heureuseusement, les efforts des fabricants tendent vers des robots aspirateurs plus efficaces et moins gourmands en énergie.
Parmi la gamme de produits plus économes, vous trouvez par exemple le robot aspirateur de piscine Aiper Seagull Pro Lite.
Régulateur de pH
Le régulateur de PH mesure le ph très régulièrement et l’ajuste finement.
Relié à des réservoirs de PH+ ou de PH - il régule automatiquement.
Cela permet d’optimiser l’efficacité des désinfectants et donc d’en maîtriser la consommation.
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Régulateur de chlore
Le régulateur de chlore automatique mesure et ajuste le niveau de chlore dans l’eau de la piscine.
Il mesure plus finement le taux de présence que les équipements manuels et permet donc un meilleur dosage.
De plus, il évite les oublis et la manipulation de produits chimiques.
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Electrolyseurs de piscine
L'électrolyseur offre la possibilité d’utiliser du sel moins onéreux et moins irritant pour désinfecter votre piscine.
L’électrolyse du sel dissous produit le chlore désinfectant.
Là aussi, l’automatisation permet d’ajuster le temps de fonctionnement de l’électrolyseur en fonction du taux de chlore mesuré.
De quoi réduire les traitements et gagner en confort avec une eau moins irritante.
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Doseur de brome
Les doseurs automatiques de brome agissent comme pour le chlore avec une mesure précise du taux présent dans l’eau. Reliés à un réservoir de brome, ils libèrent une quantité optimisée de désinfectant. Cela évite les phénomènes de surconsommation ou les oublis et évite la manipulation.
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Appareils de traitement UV
Parmi les accessoires permettant de limiter le recours aux désinfectants, le traitement UV est l’un des plus efficaces. Installée après le filtre, cette lampe UV à effet bactéricide et fongicide réduit de près de 80 % la consommation de désinfectants par rapport à un traitement standard.
Conserver l’eau plus longtemps avec un bon hivernage
Réaliser un bon hivernage au bon moment permet de limiter le renouvellement d’eau et le recours aux traitements de redémarrage.
Bien hiverner, c’est faire des économies. Quelques règles simples à respecter : attendre que la température descende en dessous de 12 °C, programmer une filtration de 1 h ou 2 par jour, conserver un niveau d’eau au 2/3 de la hauteur des skimmers, utiliser une bâche d’hivernage et des flotteurs contre le gel.
Comment hiverner une piscine
Prélevez l’eau de la piscine en cas d’incendie
Prélevez l’eau de la piscine en cas d’incendie
La piscine peut s’avérer une grande réserve d’eau non potable en cas de départ d’incendie, à condition de pouvoir la prélever.
Dans des régions exposées aux départs de feu et à la sécheresse, une pompe d’urgence peut permettre d’éteindre rapidement un feu dans un périmètre de 50 m sans gaspiller de l’eau potable.
De plus, une pompe comme la motopompe Poolsam offre un débit de 7 m³/h très largement supérieur à celui d’un robinet à 0,7 m³/h.
Une façon de limiter la consommation d’eau potable en cas d’urgence.
En définitive, il existe de nombreux moyens de limiter les dépenses liées à la piscine. De l’achat jusqu’à l’hivernage en passant par le chauffage et l’entretien, des équipements et des gestes peuvent réduire vos coûts.